Labret interne en titanium avec une pierre

Titane 6AL-4V-ELI, ASTM 136

Le titane est sensiblement sans nickel et est devenu le matériel de prédilection pour les bijoux corporels, spécialement auprès de l’union européenne où il est conforme aux normes en ce qui a trait à l’usage du nickel dans les bijoux corporels. C’est un excellent choix pour les perçages nouveaux et existants.

Les implants chirurgicaux utilisent un grade spécifique de titane, soit le Ti6AL-4V et l’ASTM F136. La couleur du titane est blanche métallique argentée. Avec un procédé d’anodisation, cela permet de traiter en surface le métal afin d’obtenir plusieurs agréables couleurs. La couleur des pièces en titane anodisé dépend de la tension appliquée lors du polissage. Le titane fait seulement la moitié du poids de l’acier chirurgical, mais il est deux fois plus résistant. Il peut être stérilisé dans un autoclave.

Cristal Premium

QU’EST-CE QUE LE CRISTAL PREMIUM?

Le cristal Premium est une pierre synthétique fabriquée en Autriche. En 1892, Daniel Swarovski a inventé une machine pour fabriquer et couper avec précision du cristal au plomb de haute qualité avec du quartz, du sable et des minéraux. Les proportions exactes de ces matières brutes sont toujours demeurées un secret d’entreprise. Ce processus de fabrication spécialisé assure une précision inégalée pour produire un cristal éclatant. À partir de leur manufacture à Wattens, en Autriche, la famille Swarovski poursuit ainsi la tradition de fabriquer le cristal le plus reconnu au monde depuis cinq générations.

POURQUOI LE CRISTAL PREMIUM EST-IL PLUS CHER QUE LE VERRE?

La méthode de production et le traitement des matières brutes sont des facteurs importants dans la qualité du cristal. Swarovski n’utilise que les meilleurs matériaux pour créer un verre au plomb à multiples facettes, reconnu dans le monde entier pour sa brillance et sa valeur. La qualité de la fabrication des matériaux, de la coupe et du polissage est ce qui démarque le cristal Premium des autres créations de verre. Selon Swarovski, «couper des matériaux durs comme le cristal et les gemmes, de manière à ce que les centaines de facettes soient identiques dans plusieurs directions, est une tâche ardue. Chaque direction de réflexion lumineuse doit d’abord être calculée par ordinateur, ensuite le tout doit être simulé en 3D, pour enfin être converti en programmes de contrôle pour de la machinerie complexe».